En 2018, on estime que près de 60 % des nouveaux patients atteints de cancer survivront au moins cinq ans après leur diagnostic. Toutefois, la majorité de cette clientèle rapporte des déficiences physiques et psychologiques; celles-ci peuvent être les dommages collatéraux de la maladie ou des traitements médicaux sur leur état physique, psychologique et social. 

Par conséquent, ces déficiences contribuent à une diminution de la qualité de vie liée à la santé. Les approches en réadaptation sont connues pour prévenir et réduire les déficiences physiques chez les usagers victimes de plusieurs conditions chroniques non cancéreuses. Même si un cancer est une condition chronique, la littérature est encore trop peu abondante pour soutenir la pertinence de la réadaptation chez cette clientèle.

Dans ce contexte, monsieur Dufresne a présenté sa programmation de recherche, dont l’objectif s’inscrit dans le désir d’évaluer la pertinence de la réadaptation en oncologie.