Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) nous sonne l’alarme depuis plusieurs années. En février 2022, leur rapport nous a indiqué que : « la fenêtre d’un avenir « viable » se referme [et] nos actions aujourd’hui vont déterminer comment nous allons nous adapter et comment la nature va répondre à l’augmentation des risques climatiques. »

Malgré les nombreuses mises en garde et recommandations, nous semblons incapables de mettre en place des actions assez rapidement pour éviter le pire. Comment l’éducation et notre relation aux milieux naturels peuvent contribuer à faire une différence significative?

Marc-André Galbrand détient une maitrise en administration publique, un baccalauréat en intervention plein air et un certificat en intervention jeunesse. Amant de la nature depuis son jeune âge, Marc-André a toujours désiré s’investir pour la protection et la restauration des milieux naturels. Afin d’y arriver, il a décidé d’adopter un mode de vie proche de la terre et de se spécialiser en gestion des milieux naturels. Après avoir réalisé de nombreuses expéditions d’envergure à travers le Québec et de s’être engagé dans une démarche d’agriculture vivrière avec sa conjointe, Marc-André a développé une vision circulaire de la relation que l’on peut avoir avec notre environnement : une relation d’interdépendance. Ses expéditions et son mode de vie l’ont amené à vouloir mettre en place les
meilleures pratiques de gestion des milieux naturels et des activités en plein air tout en créant un sentiment d’appartenance pour les communautés.